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El autor parte en su argumentación de la vivencia de falta en el toxicómano dependiente a la heroína como fenómeno específico. Reflexiona al respecto para abordar la problemática de la adicción. Considera que en tales sujetos se presenta un desfallecimiento muy precoz de lo que define como el "tono identitario de base", que vincula con la autoconservación, lo que en su pensamiento se conecta con el desarrollo "vital-identitario", línea de origen genético con todo el programa de desarrollo, que se diferenciaría de la línea libidinal más clásica en psicoanálisis. Define a estos sujetos como "esclavos de la cantidad" por defecto, requiriendo por tanto del aporte externo de la droga para sostener un tono identitario de base. Por último, y en una breve reflexión sobre la vía sublimatoria y la creatividad, opina que la droga no fomenta la creación, solo en ciertas ocasiones puede favorecer un estado regresivo que permita conectar con aspectos pregenitales que relanzan la vía sublimatoria.
The author begins with a reflection upon the experience of lack in the heroin-dependent addict as a specific phenomenon, using it as his point of departure to address the problem of addiction. He considers that in these subjects we see a very early weakness of what he defines as the "identity base tone", which he links to self-preservation, in his view connected to "vital-identity" development, an essentially genetic líne with its entire programme of development, distinguishing it from the libidinal line of classical psychoanalysis. He defines these subjects as "quantity addicts" by default, as such requiring of the external provision of the drug to sustain an identity base tone. Finally, and in a brief reflection regarding the road to sublimation and creativity, he comments that the drug does not encourage creation, but on certain occasions it may contribute to a regressive state providing the opportunity for connection with pregenital aspects which bring back the road to sublimation.
L'auteur part dans son argumentation de l'éprouvé du manque chez le toxicomane dépendant de l'héroi'ne comme phénomene spécifique. Il réfléchit a ce su jet pour aborder la problématique de r addiction. Il considere que de tels sujets présentent une défaillance tres précoce de ce qu'il définit comme le "ton identitaire de base", qu'il met en lien avec l' autoconservation, ce qui dans sa pensée se connecte avec le développement "vital-identitaire", ligne d' origine génétique avec tout le programme de développement, qui se distingue de la ligne libidinale plus classique en psychanalyse. Il définit ces sujets comme "esclaves de la quantité" par défaut, ayant done besoin de l'apport externe de la drogue pour soutenir un ton identitaire de base. En dernier, et en tant que réflexion breve sur la voie sublimatoire et la créativité, il pense que la drogue ne favorise pas la création, a certaines occasions seulement elle peut faciliter un état régressif qui permette de connecter avec des aspects prégénitaux qui relancent la voie sublimatoire.
