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Riitta-Leena Metsäpelto, Lea Pulkkinen, Asko Tolvanen
The present study investigated the role of a school-based intervention program, called the Integrated School Day, in the socioemotional development of Finnish children during their first years of school. The 3-year program involved the restructuring of the school day by adding in extracurricular activities, which were organized on school premises, included a multitude of activities according to children's wishes, and were available to every child. The longitudinal findings, based on the hierarchical linear modeling, showed that the 9- to 10-year-old children who had participated in the program (N = 276) had lower levels of internalizing problem behaviors, both social anxiety and depressive symptoms, than the non-intervention comparison group (N = 239). The difference was statistically significant in both genders. The results also showed that the higher number of years of participation (but not the number of different activities or the regularity of participation) was related to lower internalizing problem behaviors, particularly to lower social anxiety, at the end of the program.
La présente étude portait sur le rôle d'un programme d'intervention en milieu scolaire appelé «Journée d'école intégrée», dans le développement socio-émotionnel d'enfants finlandais durant leurs premières années d'école. Le programme, d'une durée de trois ans, concernait la restructuration de la journée scolaire par l'ajout d'activités parascolaires, organisées dans les locaux de l'école, comprenant une multitude d'activités conformes aux désirs des enfants, et accessibles à chaque enfant. Les conclusions longitudinales, basées sur la modélisation linéaire hiérarchique, montrent que les enfants âgés de 9 à 10 ans ayant participé au programme (N = 276) présentaient un niveau de troubles de comportement internalisants, à la fois anxiété sociale et symptômes dépressifs, plus faible que le groupe témoin n'ayant pas bénéficié de l'intervention (N = 239). La différence était statistiquement significative chez les deux sexes. Les résultats ont également montré que l'augmentation du nombre d' différentes ou la régularité de la participation) était en relation avec la baisse des troubles de comportement internalisants, notamment avec la diminution de l'anxiété sociale, à la fin du programme.
